Les ministres européens des Finances se sont mis d’accord mardi sur une proposition préliminaire. En outre, ceux qui obligerait les banques à détenir plus de capital pour prévenir les crises. Mais selon les régulateurs, il s’agit d’une dilution de ce qui a été convenu au niveau international.
Dans quelle mesure les règles plus strictes pour les banques seront-elles strictes ?
Il y a une discussion approfondie à ce sujet dans l’Union européenne sur l’actualité des règles bancaires. Ce mardi, les ministres des Finances des États membres de l’UE se sont mis d’accord sur une proposition. Selon les critiques, cela implique une version considérablement édulcorée des accords antérieurs. L’année prochaine, les ministres devront s’accorder sur les règles définitives. Alors, la Commission européenne ayant déjà fait un premier pas l’an dernier. Ainsi, le Parlement européen qui apportera sa contribution dans les mois à venir. La discussion porte sur les règles définitives de Bâle III. Bref, cela était adopté pour les banques européennes.
Selon l’actualité, il a été convenu que les banques devraient détenir plus de capital à partir de 2023. L’idée était que cela réduirait le risque d’une crise du crédit, comme en 2009, encore plus par rapport aux premières règles de Bâle III, qui ont été introduites en 2010.
Moins d’espace pour les banques elles-mêmes
Pour conclure, il est essentiel de prendre l’actualité sur les idées derrière Bâle 3.5. En bref, c’est que les banques disposent de moins de marge pour des fonds propres. Jusqu’à présent, les banques étaient autorisées à calculer le montant du capital qu’elles devaient mettre de côté. Cela garantit, entre autres, que les banques ont de nombreuses hypothèques.